Le parlement doit-il accepter les Accords Rubik
Pour le secrétaire de l'Association des banquiers privés suisses, les accords Rubik permettront à la place financière de voir l'avenir plus sereinement.
La Suisse pourrait prendre à son compte l’image de Voltaire, qui disait : « Mon Dieu, protégez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge ». En effet, les accords fiscaux durement négociés avec l’Allemagne et le Royaume-Uni pourraient ne pas survivre aux feux croisés des extrêmes lors du débat parlementaire. Et s’ils passent la rampe, l’accord allemand risque ensuite d’être attaqué par l’ASIN par voie de référendum. En bout de course, notre pays pourrait ainsi devenir le théâtre d’une campagne nationaliste et antiallemande, qui crisperait encore les relations déjà tendues avec son principal partenaire économique. Tout le monde y perdrait. A commencer par des branches comme le tourisme qui n’ont vraiment pas besoin de cela. Il est donc judicieux d’étudier la position des politiciens à propos de ces accords. Lire la suite ...