Quand la banque va, tout va !

par Catherine Lance, Les Rendez-vous de l’économie.

La richesse de la Suisse dépend de la santé de ses services. Les activités des banques et des assurances ont été durant ces dernières années les moteurs principaux de la croissance.

Les services génèrent plus des deux tiers de la valeur ajoutée de notre économie. L’industrie y contribue à 27% et l’agriculture à 3%. Mais pour Bruno Parnisari, Chef du Service Conjoncture du Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco), cette division traditionnelle de l’économie en trois secteurs¹ ne correspond plus vraiment à la réalité. « Les interrelations entre les domaines sont denses. Aujourd’hui, un col bleu commande des chaînons de production de son ordinateur, et certaines journées d’un paysan se passent également dans un bureau ».

L’attrait du succès

 

Un secteur fragile

 

Pour en savoir plus

 

Les cantons romands sont tournés vers les services

 


¹ le secteur primaire (agriculture), le secteur secondaire (industrie) et le secteur tertiaire (services)

 

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